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- Zumoffen G. : La phénicie avant les phéniciens,

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TABLE DES MATIERES

Introduction

Chapitre I :

Chapitre II :

Chapitre III :

La théorie du plagiat

Samuel Bochart

Daniel Huet

L'allégorie historique Sanchoniathon

d'après Philon de Byblos

L'allégorie physique

Allégorie et métaphysique

la nostalgie du mythe chez Maxime de Tyr

L'intégrisme de Vellay

L'approche ethnosociologique

Le fonctionalisme

Remarques sur la lecture de Détienne

Chapitre IV :

dans la philosophie Gibranienne

Conclusion générale

Appendices

1er : le blé de Sainte Barbe .

2e : Moloch n'est pas Adonaï

3: Adonis au-delà du mythe

Bibliographie

1 plus particulièrement le livre de Charles Mauron : Des métaphores obsédantes au Mythe personnel, introduction à la psychocritique.

2 Voir Charles Virolleaud, Légendes de Babylone et de Canaan, - Paris 1949, et Claude Schaeffer, dans"Ougaritica" I, 1956.

3 Nous avons adopté la version de Th. Gaster concernant ces mythes.

4 F.W. Schelling, Introduction à la philosophie de la mythologie, trad. française de S. Jauvélévitch, 2 vol. Paris, 1945.

5 A qui nous devons l'étymologie : Gan-Adon = Cran-Eden = San-Adonis.

6 Moukheiher Henri, Les apports du Liban à la civilisation mondiale, Beyrouth, 1980.

7 E. Renan, Mission de Phénicie, Paris, 1874, pp.215-216.

8 L'adjectif "sémitique" a été forgé par l'orientaliste alle­mand A.L. Schlözer pour désigner des langues orientales dont la parenté était perçue dès le Moyen-Age par les docteurs Juifs : l'araméen, l'hébreu et l'arabe. L'araméen occupe la partie septentrionale du domaine que se sont approprié les langues sémitiques ; il a été parlé dans la Syrie, la Méso­potamie et dans une partie des anciens royaumes de Babylonie et de Ninive. Il nous est surtout connu par le syriaque et le chaldéen (des orientaux) et il est encore représenté au­jourd'hui par le néo-syriaque de Mossoul, Gour Abdin, Urmia, et par les langues courantes du Mont-Liban jusqu'au XVIIe siècle. Le syriaque reste la langue liturgique de plusieurs églises orientales, comme celle des Maronites. La seconde branche de la famille sémitique est représentée principale­ment par l'ancien idiome de la Palestine, l'hébreu, auquel on rattache l'ancienne langue des Phéniciens et des Cartha­ginois. L'arabe, en sortant de la péninsule arabique, a em­porte les plus anciennes branches de la tige sémitique : l'araméen et l'hébraïque.

9 Voir E. Renan, Oeuvres complètes, 10 vol. Paris, 1947-1961

10 Gn. 10. 21-51.

11 IS. XIX, 18.

12 Cette désignation de "Fertile Crescent" a été inventée par l'archéologue américain James H. Breasted, auteur de A History of Egypt, London 1906, et Ancient Records of Egypt, 5 vol. Chicago, 1906.

13 A. Moret distingue cinq vagues d'expansion sémitique. Celles des Akkadiens au IVe millénaire, des Canano-Phéniciens vers 2900, des Araméens et des Hébreux aux alentours de 1500, des Nabatéens aux environs de 500 et, enfin, au Vile siècle de notre .ère, celle des Arabes sous l'étendard de l'Islam. Histoire de l'Orient, T. I. P.U.F. Paris, 1941.

14 Lagrange, Etudes sur les religions sémitiques, 5ème édition, Paris, Lecoffre, 1905, p.20-21.

15 E. Renan, Histoire des peuples d'Israël, T. I. p.49.

16 Lagrange, Etudes sur les religions sémitiques, p.20.

17 Ce vocabulaire commun à tous les Sémites est appelé protosémitique.

18 Voir, à ce propos, l'ouvrage de Lagrange, "Etudes sur les religions sémitiques", 2ème édition, Paris, Lecoffre, 1905 et celui de S. Moscati, Histoire et civilisation des peu­ples sémitiques, Payot, Paris, 1955.

19 Voir R.B. 1905, p.562-586, "El et Iahvé".

20 Voir La Bible de la Pléiade, l'introduction de Ed. Dhorme, p. XIV, Gallimard. 1961, T. I.

21 Murr Alfred, El, Iahvé et Jésus, Beyrouth.

22 Gen. XIV, 19.

23 Gen. XXXV. 1-4, et Gen. XLVI, 3 : "Je suis El le Dieu de ton père". Ed. Dhorme nota à ce propos que cet important passage conserve le souvenir de El se rendant en Egypte du temps des Hyksos et répondant aux prétentions des prêtres phéniciens. Voir Religion des Phéniciens, Ed.Mana, T.II. 1949, p.361.

24 Jos, XXIV.

25 "Tu es grand El, tu es sage, ta barbe grise t'instruit" (51: V : 63).

26 E. Renan, Mémoire sur l'origine et le caractère véritable de l'histoire phénicienne qui porte le nom de Sanchoniathon - Mémoire de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, XXIII, p.241-554.

27 L'évhémérisme est un système rationaliste et pragmatique d'explication de la religion. Il tire son nom du personnage appelé Evhémèros qui, dans un ouvrage écrit entre 300 et 270 av.J.G, prétend avoir vu, dans une île lointaine, des stèles sur lesquelles Ouranos, Chronos et Zeus racontaient eux-mêmes leurs actions, ce qui prouve, à ses yeux, qu'avant d'être adorés comme dieux ils étaient de simples hommes. Cette explication ne saurait, en tout cas, convenir pour l'ancienne religion cananéenne, où le Dieu est conçu comme le "Créateur du Monde" et n'appartenant donc jamais à sa sphère.

28 Lagrange, op. cit. p.399, à la page 436-37, Lagrange conclut que Philon était victime d'un ancien synchrétisme.

29 Renan, op. cit. p.277.

30 Lagrange, op. cit. p.422-424, d'après la "préparation évangélique'" d'Eusèbe de Césarée, Frag. II.

31 Lagrange, op. cit. p.74-76 et Dhorme, op. cit. p.560-561.

32 Ugarit, II.K. 37-43, 136, 151, 278, 297, trad. de Ch.Virollaud.

33 Ugar. T.IV. AN. 37-42 et Dhorme, p.361.

34 Voir à ce propos Edmond Jacob, Ras Shamra et l'A.T. Delachaux et Nestlé, Neufchâtel, 1960, chap.III.

35 L'habitation de El dans l'es profondeurs est défendue en dernier lieu par 0. Kaiser, Die mythische Bedeutung der Meeres in egypten. Ugarit und Israël, 1959, p.47, M.Pope, El in the Ugaritic Texts. suppl.V.T.II, Seiden, 1955, localise la demeure de .El à Afca, mentionnée dans Josué XIII,4, située entre Byblos et Baalbeck, à la source du Nahr Ibrahim, devenu la rivière d'Ado­nis dans la tradition phénicienne. Note de Ed. Jacob.

36 Ed. Jacob, op. cit. p.89-90.

37 Lagrange, op. cit. p,76-77.

38 Le Coran, Sourate XXXIX.

39 Lagrange, op. cit. p. 75-76.

40 Lagrange, op. cit. p.83.

41 Par exemple : Baalbeck signifie le Baal (Maître) de la plaine de la Bekaa entre le Liban et l'Anti-Liban.

42 L'idée du dieu constructeur du temple se trouve aussi dans l'A.T.; ainsi l'auteur du livre des Chroniques (I chron., XXVIII, 19) affirme que David a reçu de la main de Iahvé un écrit lui faisant connaître tous les détails du plan du fu­tur temple.

43 Voir Ed. Jacob, Ras Shamra et l'A.T. p.46, note 1.

44 Extrait du livre d'Edmond Jacob : Ras Shamra, et l'A.T. P.43-47.

45 T.H.Gaster, Les plus anciens contes de l'humanité, mythes et légendes d'il y a 3500 ans (Babyloniens, Hittites, Cananéens) récemment déchiffrés et avec des commentaires. Préface de Mircea Eliade, Payot, Paris, 1953.

46 A noter ici le rôle "médiateur" de Baal.

47 Cette pratique persiste toujours chez les Chrétiens du Liban sous forme de Voeu, "Nidr".

48 En réponse de son acte de "présomption".

49 Gen. 4 : 11-12.

50 Nomb. 35 : 33.

51 Deut. 32 : 43.

52 Graster, op. cit. p.153-166,

53 D'après Gaster, cette histoire fut composée à peu près entre l'an 1800 et l'an 1375 avant notre ère.

54 Jug. 9 : 32-33.

55 Cette idée est le leitmotiv du livre de Sir J.Frazer : The Golden Bough (le Rameau d'or)

56 II. Rois, 21 : 1.

57 Nomb, 21 : 6-9.

58 T.H. Gaster, op. cit. p.167-185.

59 Ailleurs sous le titre de "Cycles de Baal".

60 Il s'agit, bien évidemment, des théories nouvelles posté­rieures à la découverte d'Ugarit.

61 Le temple fut bâti sur la Montagne sacrée du Nord (Saphon).

62 Psaumes, 130 : 2.

63 T.H. Gaster, op. cit. p.183-206.

64 Gordon S., dans plusieurs études récentes, a insisté sur des rapprochements entre le panthéon cananéen et le "panthéon" hébreu dont certains nous paraissent bien osés (cf. Homer and Bible, HUCA, 1955).

65 1 Rois, XXII.

66 Lagrange, op. cit. p.140.

67 Renan, Mission de Phénicie, p.236.

 

68 Lucien de Samosate, La Déesse Syrienne, traduction nouvelle avec prolégomènes et notes par Mario Meunier, Edition de la Maisne, Guy Trédaniel, Paris, 1980.

69 Quant à nous, dit Meunier, nous ne trouvons nulle raison con­vaincante pour considérer comme apocryphe cet énigmatique trai­té.

70 Peut-être faut-il voir ici une allusion à cette croyance à une ascension de l'âme vers les sphères étoilées qui, selon Franz Camont (Etudes Syriennes, p.22-24), (Les Religions orientales dans le paganisme romain, p.56), "se substitua avant l'Empire à celle d'une descente dans les enfers".

71 Ce sanctuaire est celui d'Ajqa.

72 Père mythique d'Adonis.

73 Voir Déesse Syrienne, M. Meunier, p. 38 à 51.

74 Abbé Bourgade, Toison d'or de la langue phénicienne, Lib. de Benjamin Duprat, Paris (sans date).

75 Bucoliques Grecs, II, Pseudo-Théocrite, Mochos, Bion, Divers. Texte établi et traduit par Ph.E. Legrand. Collection des Uni­versités de France "Association Guillaume Budée" Paris, 1927, P.194-198 "chant funèbre en l'honneur d'Adonis" de Bion. Voir aussi le poème "sur Adonis mort" p.111-113, où le sanglier "amoureux" d'Adonis est châtié par Aphrodite.

76 Abbé Banier, Histoire du Culte d'Adonis, dans Mémoire de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Tome III, Paris, 1723, P.98 à 116.

77 A souligner le mot "historique".

78 Nous verrons plus tard que c'est de là Gnose qu'il s'agissait.

79 Théocrite, Ovide, Hyginus, Bion, etc ... Les notes sont de l'auteur même.

80 Ovide, les Métamorphoses, l. 10.

81 Lucien, De Dea Syria.

82 Isaïe, 18,2.

83 A remarquer que "vasis junceis" a été traduit par "navires de jonc", le mot latin "vas" est plus proche de l'idée d'une "jarre" ou d'un "panier d'osier" dont parlent les légendes.

84 Comme Lucien, Plutarque, Selden, M. Le Clerc et Marsham.

85 Selden, De diis Syriis.

86 Bibliothèque Universitaire, T. 3.

87 Diodore de Sicile, L. I.

88 Plutarque, De Iside ...

89 Théocrite, Idyl. 1,5.

90 Macrobe, Sat. L. I.

91 A. Marcellin, Hist. XXII,9.

92 Les Septante le nomment Thammos.

93 Ezéchiel, c.8, V.15.

94 Philastrius, Heres, 25

95 More Nevochim.

96 St Jérôme, Comment, in Ezech.

97 Ptolémée, Geog.

98 J. Pollus, Onomasticon, Ed. Breker, p.160.

99 S. Bochart, Opera omnia, Canaan, 1. 2, C. II.

100 Ovide, les Métamorphoses, 14.

101 L'Abbé Banier semble être du même avis de Philon de Byblos à propos des traditions "autentiques" des phéniciens mythisées par les Grecs.

102 Pausanias, in Grint.

103 Plutarque, in Alcib.

104 Ovide, Les Métamorphoses, l.10.

105 Plutarque, in Alcib et Nicia.

106 Suidas, in Adonidos.

107 Hist. plant. l. 6 c. 7.

108 Aristote, dans la physique, l. 8.

109 Ovide, Les Métamorphoses, l.10.

110 D. Euet, Demostratione Evang. l.7 p.4.

111 Le Vulgate a traduit Eden par "Voluptas" et "Delice". Gen. II, 8,10 ; III, 23, 24.

112 Les Eglogues, 10.

113 Ibid. 15.

114 Césars de Julien, p.252.

115 L. 2.

116 Livre cit.

117 Bib. Univ. t. 3.

118 Met. l.10.

119 In Crestom.

120 L. 4.

121 Apud Athen. l. 4.

122 Opéra omnia, Chanaan, l. 2, C. 7.

123 De Diis.et mundo, Sat. l. I, C. 21.

124 Cicéron, De Natura Deorum, l.1.

125 R. Rochette, Mémoire sur les Jardins d'Adonis, Revue archéo­logique, T. VIII, 1851, p.97-123.

126 Un extrait de ce Mémoire a paru dans les Comptes Rendus heb­domadaires de l'Académie des Sciences, T. XXXII, n°13, 31 mars 1851, p.438-441.

127 Platon. Phèdre, T. III, p.276.

128 Julien, les Césars, p. 329, O, éd. Lips, 1696.

129 Philostrate, Vit. Apollon, VII, 32.

130 Théophraste, Histoire des plantes, T. VI, C.7.

131 Cent. I, n. 49.

132 Suidas, V. Axarpftéros Adonidos Kipon.

133 Macarius, Cent. I, 63, in Paroemiogr. Grec, T. II, p.140.

134 Diogenianus, Cent. I, n. 14.

135 Eustache, ad Homer. Odyss. XI, 590, p.1701 (T. I, p.438, éd. Lips).

136 Ce qui exclut toute idée d'une végétation sérieuse et ce qui revient du reste à la notion que nous devons à Théocrite (Idylle XV, Verset 113-114) de la manière dont se célébraient à Alexandrie les fêtes d'Adonis et où les jar­dins d'Adonis se plantaient dans des corbielles d'argent.

137 Scholiaste Théocrite, ad Idyll. XV, v.112.

138 Voir aussi Suidas, Adonidos.

139 Je me fonde principalement pour cela sur le célèbre fragment de l'Adonis de Prascilla, où l'on faisait dire au jeune dieu, descendu dans le séjour infernal, que ce qu'il regrettait le plus sur la terre, après la lumière du Soleil, les astres brillants et la face de la lune, c'étaient les "concombres" (ou les melons), dans leur primeur, les pommes et les poires. P. Raxill, Fragm. in Delect. Poes. Grec., I, 438, Schneidew, Rossignol, qui a bien traduit et expliqué la pensée de Prascilla, en faisant honneur à Adonis de "jardins" d'une beauté si merveilleuse que l'antiquité les confondit dans son admira­tion avec ceux des Hespérides et d'Alcinoüs, et cela sur la foi de Pline, il a pris à son compte une erreur de Pline que je relèverai plus bas.

140

141 Hesych.

142 Voir Etymol. Magn. Adonis.

143 Heaych. l.1 ; Eustache ad Homer. Illiad. X, 499.

144

145

146 Plutarque, in Alcibiad. C. XVIII, cf. Idem, in Nic. C. XIII.

147 Ammian Marcellin, I. XIX, C. 1.

148 Schol. Msptus Clem. Alex. ad protrept., p.51, apud Best. Epistol. crit. p.196.

149 Alciphron, Epistol, I, 39.

150 R. Rochette, Choix de peinture de Pompéï, p.119, 1.

151 Philostrate, Vit. Apollon. VII, 32, p.311 (145, éd. Vayser), passage qui nous procure une notion curieuse, d'accord avec la connaissance que nous possédons des "toits plats" des "maisons assyriennes", notion exprimée par Strabon (I, XVI, p.739, T. V, p.l69,2) (trad. fr. par M. Letroune) au sujet des maisons de Babylone, qui se trouve aujourd'hui confirmé par les monuments assyriens. Voir R. Rochelle, Journal des Savants, décembre 1849, p.743-745.

152 Pline, XIX, 4,19 "Et quoniam antiquitas nihil prius mirata est quam Hesperidum hortos ac Regum Adonis et Alcinoi ; itemque Pensiles, sive illos Sémiramis, sive Assyriae rex Cyrus fecit".

153 Platon, Phèdre, III, 276 (t.5, p. 194-2, Bekker).

154 Plutarque, de ser. num. vindicto, p.67; éd. Wyttenbach, (Lugd. - "lyon" - 1772).

155 Spanheim, les Césars de Julien, p. 226-9 et remarques p. 94-5.

156 Valkenaër, ad Théocrit. Adonias, v.115, p. 395-594 éd. Ludg. 1810.

157 Toup, Emandat. in Suid. et Hesych. t.III, p.547

158 Wyttenbach, ad Plutarch. de ser. num. vindict. p.79.

159 Bast, Epistol. crit. p. 192-195 traduit vase de terre par "tasse".

160 Kiessling, ad Théocrit. Idyll. XV, v.113, p,433.

161 Aristophane, Lysistrate, v. 392-3.

162 Alciphron, Epist. I. 39, p.242, éd. Wagner.

163 Voyage en Sardaigne, 4, I, p.264-5.

164 Symbolik. etc.. T. II, p.480-481, 1, 3ème éd.

165 Boettiger, Sabin, I, p.225, 1 (226, et, 258, 1).

166 Symbolik. etc.. T. II, p.102-103, 2ème éd. (1820).

167 Ch. Vellay, Le culte et les fêtes d'Adonis-Thammouz dans L'orient antique, Annales du Musée Guimet, Bibliothèque d'Etudes, Tome seizième, Paris, Ernest Leroux, Editeur, 1904.

168 Vellay, Adon-Tham. p,19-20.

169 Ibid. p.20 et 52.

170 E, Renan, Mission de Phénicie, p,216.

171 St Jérôme, Epist. ad Paulin, voir Vellay, p.36.

172 St Jérôme, in Eziéchiel, voir Vellay, p.76.

173 F. Lenormant, Sur les rapports de Thanmouz et de Doumouzi, extrait des Actes du Congrès des Orientalistes, réuni à Florence en 1878.

174 Renan, Mission de Phénicie, p.216,

175 Auteur du livre Die Ssabier und der Ssabisomus, et qui, dans le tome II, p.27, parle d'un certain dieu Sabéen nommé "Ta-uz".

176 Corsini. Pasté Attici, Tome II, p,297 sq

177 J. Sury, La Phénicie, dans Revue des deux mondes, 15 décembre 1875, P.811.

178 En réalité, Vellay n'a fait que développer la théorie de "l'Adonis Solaire" de Macrobe.

179 Vellay, p.108-109.

180 Musée, Héro et Léandre, v.G2-50.

181 Ezéchiel, VIII,14, Vellay, p.110.

182 Julius Firmicus, De errore profanae relig. cité par Vellay p. III, d'après Movers, Die Phënizier, tome 1er, chap. VII.

183 Mandrell, Voyages, p.57-58.

184 Renan, Mission de Phénicie, p.283.

185 Ammian Marcellin, Hist. XXII, 9.

186 Théocrite, Idylles. XV, v.102-103.

187 Ammian Marcellin, Hist. XXII, 9.

188 De Dea Syria, 49.

189 Maïmonide, III, 20.

190 St Jérôme, Commentaire sur Ezéchiel, livre III (Eséchiel VIII, 14).

191 Chwolsohn, Die Ssabier und der Ssabisomus, tome II, p.27.

192 Gen.L, 10 ; Sam. XXXI ; Judith. XVI,29.

De Dea Syria, 52-53, Ammian Marcellin, XX, 1.

193 De Dea Syria, 7.

194 Cyrill, Alexandrin, Comment, in Isaiam : Procope de Gaza, Ad Isaiam, cap. II.

195 Chwolsohn, Die Sgabier und der Ssabisomua, tome II, p. 27.

196 De Dea Syria, 6. A ce sujet, cf. Hérodote, Clio, C.XIX ; Jus­tin, livre XVIII, chap.V ; Athénée, livre XII, 11 ; Elien, Hist. div. livre IV, 1 ; Pomponius Mêla, liv.I, chap.VIII ; Valère-Maxime, II, VI, 15.

197 Lagrange, Etudes sur les religions sémitiques, chap.VII, Les temps sacrés, p. 302-313.

198 Nous sommes moins affirmatifs que la plupart des auteurs parce que le nom de Thammouz ne paraît pas dans les textes babylo­niens avant la période où l'on admet des influences cananéen­nes. Quant aux origines du type, elles nous échappent, comme toujours (Note de Lagrange).

199 La dictionnaire des antiquités ..., v° Adonis.

200 Théocrite, XV.

201 Théocrite, XV, 103.

202 De Dea Syria, 6.

203 Comm. d'Ezéchiel sur VIII, 14.

204 A. Marcelin, XXII,9, parle dun "ritu veteri".

205 J. Firmicus : "quem paulo ante sepelierant revixisse jactant" chap.III.

206 Ez. VIII, 14.

207 Gilgamesh, KB, VI, 1.

208 K.B. VI, 1.

209 Zimmern (KAT, p.398) cite très justement la caisse dans la­quelle Perséphoné avait placé le petit Adonis, "dans son en­fance, il repose dans un vaisseau plongé". Jansen l'a com­parée à la petite caisse dans laquelle avait été exposé Moïse.

210 Movers (Die Phoenizier, III, p.211 ss) admet une fête d'octobre et une fête d'été ; Roscher (Lex, myth. V° Adonis), après Bandissin (sturiens…,I,298) etc... place la fête de Byblos au printemps.

211 D. Saglio, Dict. des Antiquités ..., I, p.92.

212 Voir textes cités par Frazer (Gold Bough, II, p. 119, n.1) et qui ne les a pas appréciés selon leur sens précis.

213 Zimmern (KAT. p.398) "dans sa croissance il repose dans le fruit enfoncé". Voir Lagrange, p.304.

214 C'est la conclusion de la descente d'Istar aux enfers. D'après la traduction fort ingénieuse de Jensen, la dernière ressource pour obtenir la sortie d'Istar serait de parer Tammouz ; le dieu jouant de la flûte au milieu des pleureurs et des pleu­reuses, le monde souterrain serait ébranlé et les morts monte­raient pour respirer l'encens. Pour éviter ce mal, on lui cé­derait (Istar). Voir Lagrange, p.303.

215 Tammouz, fils de l'eau, déposé dans un petit bateau plongé ; si le rite des jardins est très antique, il a pu avoir une valeur de magie sympathique ; on faisait croître le grain dans des petites caisses bien arrosées pour stimuler les champs de céréales. Plus tard, cette végétation légère rap­pela la mort prématurée d'Adonis.

216 Conclusion de la descente d'Istar aux enfers, KB, VI, 1, P.90, 1, 51.

217 Golden Bough, II, p.174 et 261 ; cf. pour l'usage encore existant pour le pays de Moab, R.P. Jensen R.B. 1903, p.258.

218 De Dea Syria, 6.

219 Macrobe, Saturne, I, 21.

220 Héraclès est le Melqart "Roi de la ville" de Tyr.

221 Athénée, 12, p.392.

222 V.R. Smith, Rel... Sem. p.413 : the legende of the deads of Semitic gods that have come to us are singularly devoid of moral significance.

223 Volt Vilheim Graf Baudissin, Adonis und Eshmun. Eine kutersuchung zur Geschichte des Glaubens an Auferstchungsgötter und an Heilgötter. 1 vol. in-8 de XX - 575 pages et 10 plan­ches. Leipzig, Hinrichs, 1911.

224 Journal des Savants, 1907, p.36-47,

225 Revue de l'histoire des religions, T. LXIII (1911), p.331 339.

226 Qui est Tammouz.

227 Cicéron, De natura deorum, III, 23.

228 Movers a voulu démontrer que Byblos formait, en Phénicie, un monde à part et cette erreur pèse encore sur nos études. En réalité, Byblos, moins active que Tyr et Sidon, se distingue par ses tendances conservatrices.

229 James George Frazer, Le Cycle du Rameau d'Or, Adonis, étude de religions orientales comparées. Traduction française de Lady Frazer, nouvelle édition. Annales du Musée Guimet, Bi­bliothèque d'études, Tome vingt-neuvième. Lib. orientale Paul Geutner. Paris, 1934.

230 J. Frazer, op. cit. introduction, VI-VII.

231 Son oeuvre est formée de X chapitres plus appendices I – II – III.

232 L'identité de Tammouz et d'Adonis a été mise en doute ou niée par certains savants, comme Renan (Mission de Phénicie, Paris, 1864, p.216-235) et Chwolsohn (Die Ssabier und der Ssabisomus, Pétrograd, 1856, II, 510). Mais les deux divinités sont iden­tifiées par Origène (Selecta in Ezechielem, Patrologia Graeca de Migne, XIII, 797), Jérôme (Epist.LVIII, 3 et Commentaires in Ezechielem, VIII, 15,14 Patrologia Latina de Migne, XXII, 581, XXV, 82), Cyrille d'Alexandrie (in Isaiam, lib. II, tome III et Commentaires in Oseam, IV, 15, Pat. Graeca de Migne, LXX, 441, LXXI, 136), Théodoret (In Ezech. chap.VIII, Pat. Grc de Migne, LXXXI, 885) et Méliton (dans le Spicilegicem Syriacum de W. Cureton, Londres, 1855, P.44). En conséquence, nous pouvons raisonnablement conclure que, quelle qu'ait pu être leur origine éloignée, Tammouz et Adonis, dans une période pos­térieure de l'antiquité, furent pratiquement identiques. Com­parez Graf Baudissin, op. cit. p.94 - 599, Vellay "le dieu Tammouz", Revue de l'histoire des religions, XLIX (1904), P.154-162, Movers Die phonizier, I (Bonn, 1841), p.191 599, etc...

233 Sappho, qui vécut vers 600 av.J.C., mentionne les lamentations en l'honneur d'Adonis. Voir Th. Bergth, Portae Lyrici Graeci, III (Leipzig,1867), p.897 ; Pausanias, IV, 29,8.

234 Ed. Meyer, Geschichte des Altertums. I,2 (Berlin, 1909), P.394, sq. W.Graf Baudissin, Adonis und Eschmoun, p.65 599.

235 Encyclopaedia Biblica, éd. T.K. Cheyne et J.S. Black, III, 3327. Dans l'Ancient Testament, on trouve très souvent le titre d'Adoni "Seigneur" donné aux hommes. Voir par exem­ple, Genèse XXXIII, 8,13,14,15 ; XLII, 10 ; XLIII. 20 ; XLIV, 5,7,9,16,18,19,20,22,24.

236 G. Maspero, Histoire ancienne des peuplas de l'Orient classi­que (Paris, 1895).I.p.550 sq. ; L.W. King, Babylonian Religion and Mythology (Londres, 1899), p.1 sqq. Au sujet de l'hypothèse que les Sumériens étaient des émigrants de l'Asie Centrale, voir L.W. King. History of Sumer and Akkad (Londres, 1940). p.357 sqq. Voir aussi la conférence du professeur J.W.Gregory, La terre se dessèche-t-elle ? faite devant la "Royal Geographical Society, rapport dans le "Times" du 9 déc. 1913.

237 H. Zimmern, Der Babylonische Gott Tamuz, Abhaudlungen der philologisch Gesellschaft der Wissenschaften, XXVII, N˚ XX (Leipzig, 1909), p.701-722.

238 Dumuzi ou, dans la forme complète, Dumuzi-ahzu. Voir P. Jensen, Assyrisch-Babylonische Mythen und Epen (Berlin, 1900), p.560 ; P. Dhorme, La Religion Assuro-Babylonienne (Paris, 1910), p.105.

239 H. Zimmern, Der Babylonische Gott Tamuz, p.723. Pour le texte et la traduction des Cantiques, voir H. Zimmern, Sumerisch-Babylonische Tamuzlieder (Leipzig, 1907), p.201-252. Comparez H. Gressmann, Alteriontalische Texte und Bilder (Tübingen, 1909), I, p.93, sqq; R.W. Rogers, Cuneiform parallels to the Old Testament (Oxford, sans date), p.179-185; W.G.Baudissin, Adonis und Eschmun, p.99 sqq.

240 M. Jastrow, The Religion of Babylonia and Assyria (Boston, 1898), p.565-576,584,682 sq.; W.L. King, Babylonian Religion and Mythology. p.178-185. Selon Jérôme (sur Ezéchiel,VIII,14), le mois de Tammouz était le mois de juin mais, d'après la science moderne, il correspondait à juillet ou mi-juin et mi-juillet. Selon M. Jastrow, The Religion of Babylonia and Assyria, la fête de Tammouz fut célébrée juste avant le solstice d'été.

241 Frazer, Adonis, p.7-8.

242 Ezéchiel, VIII, 14.

243 Apollodore, Bibliotheca, III, 14, 4 ; Bion, Idyl. I, ; J. Tzetres, Schol. sur Lycophron, 831 ; Ovide, Métam. X, 503, 599 ; Aristide, Apologie, édition J.Rendel Harris (Cambridge, 1891), p.44, 106, 59. Dans les textes babyloniens relatifs à Tammouz, on n'a encore trouvé aucune allusion à la mort du fait d'un sanglier. Baudissin incline à penser que l'incident du san­glier est une importation ultérieure dans le mythe d'Adonis. Voir p.142, sqq. Quant au rapport du sanglier avec les dieux de même famille, Adoni, Atys, et Osiris, voir Spirits of the corn and of the wild, II, 22 sqq ; où j'ai suggéré que l'idée du sanglier peut être fondée sur les ravages terribles que

244 Baudisain, Adonis und Eschamn, p.152 sq. avec la planche IV.

245 Les anciens n'ignoraient pas que l'Aphodrite de Syrie et de Chypre, la maîtresse d'Adonis, n'était autre qu'Astarté. Voir Cicéron, De Natura Deorum. III, 23, 59 ; Joannes Lydus, De mensibus, IV, 44 ; et Baudissin Adonis und Eschmun, p.71, sqq.

246 Au sujet, de Cinyras, voir F.C. Movers, Die Phoenizier, I, 258 sqq, II,2, 226-231. Méliton appelle le père d'Adonis du nom de Cuthar et le représente comme roi des Phéniciens avec sa capitale à Gebal (Byblos). Voir Méliton, Oration to Antonius Caesar, dans le spicilegium Syriacum de W. Cureton (Londres, 1855), P.44.

247 Philon de Byblos, cité par Eusèbe, Prep. Evang. I,10 ; Etienne de Byzance, S.V.Byblios. Byblos est une corruption grecque du mot sémitique Gebal, nom que le lieu porte encore. Voir E. Re­nan, Mission de Phénicie, (Paris, 1864), p.155.

248 Sur la divinité des rois Sémitiques et la royauté des dieux Sémitiques, voir W.R. Smith, Religion of the Sémites (Lon­dres, 1894), p.44, sq. 66 sqq.

249 E. Renan, cité par Ch. Vellay, le culte et les fêtes d'Adonis-Tammouz, p.39.

250 Juges, I, 4-7 ; Josué, X, 1 sqq.

251 Genèse, XIV, 18-20, avec le commentaire du professeur S.P. Driver ; Encyclopaedia Biblica, svv. Voir aussi le profes­seur Th. Völdeke, ibid. sv. "Namus" III, 32, 86.

252 Ezéchiel, VIII, 14.

253 Ils furent chassés du temple par le roi Josias qui monta sur le trône en 637 av.J.C, Voir Rois, XXIII, 7.

254 L'"asherah" (sing. d'asherim) était certainement en bois, (Juges, VII, 26) : il paraît avoir été un arbre dépouillé de ses branches et planté près d'un autel, soit de Jéhovah, soit d'autres dieux (Deutéronome, XVI, 21 ; Jérémie, XVII, 2). Que l'"asherah" ait été regardé comme une déesse, le Baal féminin, cela apparaît d'après I ROIS, XVIII,19 : 2 ROIS, XXI, 3, XXIII, 4 ; et que cette déesse était identifiée avec Ashtorreth (Astarté), cela peut être inféré d'une comparaison de Juges, II, 13, avec Juges, III, 7. Voir, à ce propos, M.J. Lagrange, Etudes sur les Religions Sémitiques, pp.173, sqq.

255 Voir, par exemple, I Samuel XXIV,8 ; 2 Samuel XIV,9,12,15,17, 10,19,22, XV,15,21 ; I Rois I,2,13,18 ; I Chroniques XXI,3,25.

256 Jérémie, XXII, 18, XXXIV, 5. Dans le premier de ces passages, se­lon le texte massorétique, la formule entière de la lamenta­tion était : "Hélas, mon frère! Hélas, ma soeur! Hélas, mon maître! Hélas, sa gloire!". T.K. Cheyne considère que la soeur- pleurée n'était qu'Ishtar.

257 Ceci fut remarqué par Renan (Histoire du peuple d'Israël), III, p.273, et le professeur T.K. Cheyne écrit ces formules de la­mentations publiques furent dérivées des cérémonies en l'hon­neur d'Adonis.

258 Strabon, XVI,1,18, p.755, "Cinyra" du sémitique "Kinnor".

259 Lucien, De Dea Syria, 9 ; Fraser, p.38; Lyre.

260 Eusèbe, Vita Constantini, III,55 ; Sozomène, Historia Ecole-siastica, II,5 ; Socrate, Historia Ecclesiastica, I1,18 ; Zosime, I,58.

261 Les voyageurs sont unanimes à célébrer la beauté extraordi­naire de la vallée de l'Adonis ou du Nahr Ebrahim. Robinson, dans son Biblical Researches in Palestine (Londres, 1867), III, 603-69, écrit : "Je n'ai point vu, dans tous mes voyages, de lieu sur lequel mon souvenir s'arrête avec plus de plaisir que sur la retraite écartée et le charme extrême d'Afka". Renan, dans sa Mission de Phénicie, p.282,sqq, dit "que le paysage est l'un des plus beaux du monde", etc...

262 Etymologicum Magnum, s.v. Aphaqa, p.175.

263 Renan, Mission de Phénicie, pp.292-294. L'auteur semble ne pas douter que la bête qui attaque Adonis est un ours et; non un sanglier.

264 Macrobe, Saturn. I,21,5.

265 Lucien, De Dea Syria, 8.

266 Frazer, Adonis, p.25.

267 Ibid. p.27.

268 A Babylone, une femme dormait régulièrement dans le lit majes­tueux de Bel ou Mardouk, placé dans son temple, au sommet d'une haute pyramide ; on croyait que le dieu l'avait choisie entre toutes les femmes de Babylone et qu'il partageait sa couche. A en croire Hérodote (I,181,sq), l'épouse du dieu Babylonien était chaste.

269 Frazer, Adonis, p.27-28. En Hébreu, une courtisane du temple était régulièrement appelée "femme sacrés" (Kedesha). Voir Encyclopaedia Biblica, s.v. Harlot ; et Frazer p.53.

270 Frazer, Adonis, p.31.

271 Frazer, Adonis, p.58, "Kinnor", "Lyre". Il a vécu, selon Anacréon, jusqu'à l'âge respectable de cent soixante ans, âge normal dans la période antédiluvienne.

272 I Samuel, X, 5.

273 Frazer, Adonis, p.40.

274 S.I. Curtiss, Primitive Semitic Religion to-day, Chicago, New-York, Toronto, 1902, p.150, sq.

275 I Samuel, I.

276 Genèse, VI,1-3.

277 Par exemple, tous les noms hébreux terminés en -el ou -iah sont composés avec El ou Iavhé, deux noms de divinités.

278 C'est pourquoi Anne appelle son fils "Samuel", ce qui veut dire le "nom de Dieu" ou "son nom est Dieu".

279 Endroit dans la Palestine où des bouffées d'air chaud s'échap­pent des fissures de la terre, célèbre par le nombre des fem­mes sans enfants qui y accourent pour faire exaucer leur dé­sir de maternité.

280 Le caractère de Tammouz ou d'Adonis comme esprit du blé ap­paraît bien clairement dans un récit de ses, fêtes que donne un écrivain arabe du dixième siècle. Il dit, en décrivant les rites et les sacrifices observés aux différentes saisons de l'année, par les Syriens païens d'Harran : "Tammouz (juillet). Vers le milieu de ce mois, on célèbre la fête de "el Buquât", c'est-à-dire des femmes en fleurs, et la fête de Ta-Uz, en l'honneur du dieu Ta-Uz. Les femmes se lamentent sur son sort, parce que son seigneur le tua cruellement, broya ses os dans un moulin et les dispersa aux vents. Pendant cette fête, les femmes ne mangent rien de,ce qui a été broyé dans un moulin, mais limitent leur nourriture à du blé trempé, des vesces douées, des dattes, des raisins secs.

281 R. Wünsh, Der Frülingsfest der Insel Malta,(Leipzig,1902) ; p.47-57.

282 Jérôme, Commentaires sur Ezéchiel, VIII,14.

283 Jérôme, Epist. LVIII,3 (Patrologia Latina de Migne) ; XXII.581.

284 Sozomène, Historia Ecclesiastica, II, 5 (Patrologia Graeca de Migne, LXVII, 948). Zosime (Hist., I, 58).

285 Frazer, Adonis, p.204.

286 W. Atallah, Adonis dans la littérature et l'art grecs, Lib. G. KlincksicK, Paris, 1966, chap.IV, p. 295-301.

287 P. Boyancé, Association Guillaume Budé, Congrès de Strasbourg 1938, p.206.

288 Voir W.Atallah, op. cit. p.60, 61, 97, 244, etc...

289 Plutarque, Symposiaca, IV, 3.

290 Plutarque, Sertorius, I.

291 Pausanias, VI, 17, 5.

292 Lucien, Déesse Syrienne, 7.

293 Voir Cyrille d'Alexandrie, Sur Isaïe, XVIII, 2 (= Migne, P.G. LXX, 440-441), trad. R.de Vaux, Rev. Bibl. 1933, p.42.

294 Plutarque, Isis et Osiris, 50.

295 G. Glotz, REG XXXIII, 1920, p.214-220.

296 Voir a ce propos Henri Frankfort, La royauté et les dieux, trad. fran. 1951, P.370-379.

297 Hippolyte, Réfutation de toutes les hérésies, V, 9, 7-9 (Wendland, p.99-100).

298 Damascius, De principiis, 352.

299 Hymnes orphiques, 56.

300 Sur ce sens de l'androgyne, voir Hippolyte, Réfutations de toutes les hérésies, V. 7, 9, 15 (Wendland, p.81-82).

301 Sur les "hymnes orphiques", leur origine, leur date, et leur nature, voir W. Guthrie, Orphée, (trad. fran. 1956), p.286-290.

302 F. Cumont, Symbolisme funéraire, p.200 n.1, Syria, XXII (1941), p.293, etc..,

303 F. Cumont, Religions orientales, p.259, n.65, 4e éd. Paris, 1929.

304 Hippolyte, Réfutations de toutes les hérésies, V. 7,10 et V. 7,20 (Wendland, p.81 et p.83).

305 Voir ci-dessus.

306 Voir ci-dessus.

307 A. Marcellin, XIX, I, 11.

308 F.E. Brown, The excavations at Dura-Buropos, VII-VIII, New Haven, 1939, p.156 et suiv.

309 F. Cumont, Lux perpétua, p.262-265.

310 Phyllis Lehmann, Boscoreale, p.76 et n. 190.

311 G. Glotz, R.E.G., XXXIII, p.221, 1920.

312 P. Lambrechts, Over Griekse en Oosterse Mystereigodsdiensten, de Zgn. Adonismysteries, dans Mededelingen Van dekoninklijke Vlaamse Académie voor Welenschappen, XVI, 1954, 43 pages, Résumé en Français, p.41-43.

313 D'après Suidas, Philon serait né vers le milieu du 1er siècle après J.C. et vivait encore au temps d'Hadrien (117-158), et. Sznyser, Supplément du dictionnaire de la Bible, VII, s.v. Philon de Byblos. col., 1351-1354.

314 Philon de Byblos, Frag. II, 13, dans Du Mesnil, Etud. Dieux Phéniciens, p.30.

315 Gen. XIV, "El-Elyôn".

316 Psaumes, LVII, 3 ; LXXVIII, 56 ; "Elohim-Elyôn".

317 Ibid., VII, 18 ; XLVII, 3 ; "Iahvé-Elyôn".

318 Philon de Byblos, Frag. II, 17, début.

319 Les Dionysiaques, I, XLI, 14-51, éd. Teubner, 1858, II, p.230-231, et 1911, II, p.316-317, trad. Marcellus, Lacroix Comon, 1856, V, p.157-161 ; F. Di Dot, 1956, p.341-342.

320 Ezéchiel, XXVII, 13.

321 Pour nous, dit Du Mesnil, le nom de Aiôn serait à expliquer autrement. En grec, ce mot signifie "le Temps", "l'Eternité" mais aussi le "Monde" et l'"Univers". Voir p.45, "les Dieux Phéniciens". Philon de Byblos dit comment cette fondation a été faite : après la conquête de l'île et de ses "sacra" par "Ousô"(Mêl. de l'Univ. S. Joseph, 41, I, 1965, p.65), le Très-Haut (Elioun) y a fait bâtir des cabanes et Ousô a fourni aux habitants des vêtements en peau de bêtes, comme le fit Elohim pour Adam et Eve.

322 Philon de Byblos, II, 25.

323 Revue de l'histoire des Religions, 169, 1966, I, p.40-42.

324 Lagrange, Etudes sur les religions sémitiques, 3995 et 463-465.

325 Virolleaud, Syria, 16, 1935, P.250, 254-259.

326 Revue de l'histoire des religions, 1965, 2, p.42, n. I. Aliyan Baal était le "haut" comme maître de la montagne du Saphon et comme "chevaucheur des nuées", qui lance la foudre et dispense la pluie. Il atteignait donc les nuages mais non le ciel as­tral du domaine d'Elioun.

327 Du Mesnil, Les Dieux Phéniciens, p.35-38.

328 Philon de Byblos, Fragm, II, 5.

329 Ibid.

330 Renan, Mémoire sur l'origine et le caractère véritable de l'histoire phénicienne qui porte le nom de Sanchoniathon, Mémoires de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, XXIII, 2ème partie, 1858, p. 16-17 ; Lagrange, Etudes sur les religions sémitiques, 2ème éd. p, 413-414.

331 Ezéchiel, XXXVII, 9.

332 La première idée de cette transcription est de Bochart.

333 Genèse, III, 8.

334 op. cit.

335 op, cit. p.413.

336 Genèse, I, 2.

337 R. Lahat, le poème babylonien de la création. 1935, p.45.

338 La Septante transcrit ce nom Eva et le traduit Zôn.

339 Ed. 1777, I, p.553 ; "Aeon, la première femme créée dans le système des Phéniciens". Identification encore admise au­jourd'hui par l'abbé R. Largement, Conférences à l'Univer­sité libanaise en Avril 1964, dans les Publications, de cette Université, section des Etudes Historiques, X, p.45. Pour Buisson, le nom d'Eôn veut dire Eternité, Univers.

340 Genèse, III, 2.

341 Cette expression dr dr était déjà connue à Sas Shaara au XIVe siècle av.J,C., (Aistleitner, Wört, p,82, n°786).

342 Genèse, II, 8.

343 Du Mesnil, Les dieux phéniciens. p.46.

344 Aistleitner, Wörterbuch der ugarit Sprach, 1963, p.7-8,

345 Jean et Hoftijzer, Diet der inscr semit de l'ouest, 1905, p.5.

346 Byblos et les Giblites: dans l'Ancien Testament, p.308.

347 Atallah, W. Adonis, p.23-34 ; Apollodore, Bibliothèque, III, 14, 3-4 ; Probus, Commentaires sur Virgile, Bucoliques, X,18.

348 Du Mesnil, op. cit. p.12.

349 Du Mesnil, op. cit. p.19-20.

350 R. Lahat, A. Cacot, M. Sznycer, M. Vieyra, Les religions du Proche-Orient asiatique, Collect. J. Chevalier, Le trésor spirituel de l'humanité, Paris, 1970, p.384-385, I, 13-14-20-21.

351 Fragm. I, Lagrange, Etudes sur les Religions Sémitiques, 2e. Ed. p.423, paragraphe 22.

352 Hésiode, Théogonie, 181.

353 Koran. XVIII, 59, trad. M. Kasimirski, 1865, p.256.

354 Enniades, éd. Budé, E. Bréhier, III, p.165-167.

355 Du Mesnil, Nouvelles Etudes sur les dieux et les mythes de Canaan. 1973, p.1-4.

356 Voir Fig. (60), Du Mesnil, op. cit. p.143.

357 Epinomis, 986 E.

358 De Natura Deorum, I,13 : éd. Teubner, IV, II, p.15-16, V.34.

359 Isaïe, XVII, 10-11.

360 La Sainte Bible, éd. Furne, 1864, p. 533.

361 Sur le nom de Néman donné par Plutarque à Astarté, la baalat Gebal, voir Isis et Osiris, 15, trad. M.Meunier, Paris, 1914.

362 Du Mesnil, Nouvelles Etudes sur les Dieux et les Mythes de Canaan, p.162.

363 Le dieu phénicien Eshmoun, journal des Savants, 5, 1907, p. 36-47 (d'après des suggestions de IX B. Baudissin) ; Syria, 4, 1923, p.309.

364 Fragm. II, 20 et 27 Eshmoun est appelé Asclépios.

365 Voir M. Détienne, les jardins d'Adonis, 1972, p.11.

366 Apollodore, Biblioth. III, 14, 4 ; Atallah, Adonis, 1966, p.33, p.309, n. 5-6.

367 J. Hûbaux et H. Leroy, Le mythe du Phénix, Bull. de la Faculté de Phil. et Lettres de l'Univ. de Liège, Fasc.82, 1939, P.68, le phénix, forme de Ré = El.

368 Du Mesnil, ibid. p.164-165.

369 M. Détienne ne tient pas compte du caractère funèbre des Ado­nies, s'agit-il alors d'autres Adonies pour un autre Adonis?

370 M. Détienne, Les Jardins d'Adonis, voir l'introduction de J.P. Vernant.

 

371 Schelling fait la revue de ces théories dans la première leçon de son "Introduction à la philosophie de la mythologie", trad. franc. de S. Jankélévitch, 2 vol., Paris 1945, p. 258-259 du T.I.

372 B. de Fontenelle, de l'Origine des Fables, Paris 1724.

373 Voir Biographie Universelle Ancienne et Moderne - Michaud. Nouvelle Edit. Tome III, Paris 1854. Article " Banier " pp 10-11.

374 Ce livre paru en 1713 à la même époque où il écrivait son mémoire sur Adonis donc en 1712.

375 Voir l'article de l'Abbé Banier du Chap. II de notre thèse.

376 Il faudrait signaler que Spinoza et Banier traitent de deux thèmes assez différents l'un dans le domaine biblique, l'autre dans la mythologie grecque. Donc deux registres assez différents.

377 Spinoza. Tractus theologico-politicus. Trad. Appuhn, II, class. Garnier; Paris, 1929, p. 118

378 A la différence de Spinoza, Bultman consacra la majeure partie de son travail au Nouveau Testament plutôt qu'à l'Ancien Testament.

379 R. Bultmann, Zum Problem der Sntmythologisierung, trad. franc, de 0. Laffourerière dans R. Bultmann, 1'Interprétation du Nouveau Testament Collect. Les Religions, II, Paris 1955, p. 189.

380 R. Bultmann, ibid, p. 189.

381 R. Bultmann, ibid, p. 189.

382 Ibid. p. 189 Voir aussi L. Malevy "Le Message chrétien et le Mythe" La théologie de R. Bultmann, dans Muséum Lessianum sect. théologique, 51, Bruxelles, Paris 1945, p. 135 Sq ; et G. Casalis "le Problème du Mythe" dans Rev. d'Hist. et philosophie religieuse, 31, 1951.

383 Voir Schelling "Les Ages du Monde" Biblioth. philosophique - Aubier Paris, 1949, p. 213.

384 Il s'agit en effet de Gabriel (Gibrail el Sahyouni) né à Ehden au Liban en 1577, et de Jean "Youhanna el Hasrouni de Hasroun. Ces deux Maronites sont les élèves de l'Ecole Maronite de et sont les auteurs de la "Polyglotte", appelée " Orbis mitaculum " voir Dict. de Théologie Cath. T. XIV, Sionite, Col. 2167-2169.

385 Ezech 27,23 "Tyr, (...), Harran, Kanné et Eflen trafiquaient avec toi, Assur et toute la Médie trafiquaient avec toi."

386 C'est la partie basse entre les deux chaînes du Mont-Liban qu'on appelle "Békaa", et où se dresse le fameux temple de Japiter Alias Adonis: "Baal-Beck" i.e le Raal de la pleine fertille.

387 Ehden - village maronite à côté des Cèdres, aux sources abondantes.

388 Nous pouvons déjà pressentir que ce "Jardin" d'abord réel et bien situé géographiquement devient un mythe, une sorte d'"Arché­type" duquel sort et auquel tend toutes les consciences orientales. Le retour au paradis "Al Jannak" est le let-motiv de la révolution musulmane actuelle.

389 D. Huet, "Demonstratio Evangelica" Paris, 1679, 1 vol., in fol. C'était à propos de ce livre que Racine témoignait ne pas approuver l'usage que le savant prélat avait fait de ses connaissances profanes, en faveur de la religion. Il est l'auteur aussi du "De la situation du Paradis terrestre" Paris, 1691, 1 vol. in 12 - Voir Biograph. Univers. Michaud - Nouv. Edit. T XX, 1858, col 101.

390 Taaut et Adonis

391 Phénan n'a pas hésité de voir dans son mémoire sur Sanchionathon un "récit juif déformé".

392 Fin de l’extrait de Huct, “Preparatia Evangelicae” Paris 1679 Caput Tertium, p. 65-60.

393 Voltaire dans Dictionnaire philosophique portatif - Londres - Genève (764 art. " Religion " Seconde question.

394 Diderot " Encyclopédie " art. " Polythéisme " t. XII, p. 955.

395 J.J. Rousseau "Du Contrat Social" Ed. Halbwachs, dans bib. philosoph. Paris 1943, IV, 8, p. 413-414.

396 G. Rawlinson "The history of Phoenicia" London, Longman, 1889, p. 321 - 325.

397 Voir Jankélévitch Vl. "L'Odyssée de la conscience dans la dernière philosophie de Schelling" Paris 1933, p. ,249 et 253.

398 P. Valéry "Petite lettre sur les mythes" dans " Variété " II p. 250-251 - Paris 1930.

399 1ère epit. aux Corinth? VII, 31.

400 Schelling, op. cit., XXe leçon, T. II, p. 241 sq

401 Jankelévitch V. "L'Ironie ou la bonne conscience" Bib. de la phil. contemporaine, Paris 1950, p. 335 sq.

402 On pourra consulter sur cet auteur M. - J, Lagrange - "Etudes sur les religions sémitiques" dans Collect. Etudes bibliques, Paris 1903, p. 351-393 " Les mythes phéniciens, Philon de Byblos ".

403 On doute de l'existence historique de cet auteur. On verra l'état de cette question dans l. Nantin " Sanchoniathon cly Philon de Byblos et cly Porphyre " dans " Revue biblique ", 56, 1949, p. 259-273 - voir aussi du même auteur dans la même revue, 57, 1950, p. 409-416.

404 Prophyre " De abstinentia " II, 56 et " Contre les Chrétiens ", IV Eusèbe " Prep. Evang. 1-9 (Cité par Nantin, art.cit. p 267 - Voir aussi Eusèbe " Prep. Evang. " 1-9-10.

405 Car l'interprétation allégorique requiert la profusion de l'obscu­rité ; Porphyre nous avons vu faisait à Origène allégoriste le même reproche que Pholan aux " hiérologues ".

406 Ibid dans Eusèbe I, 9, 26 et Nantin art. cit., p. 262.

407 Macrobe, Saturnalia, I, 21. Cité par Ch. Vellay "Le culte d'Adonis Trammour" d. 84-85.

408 Voir G. Soury "Aperçus de philosophie religieuse cly Maxime de Tyr Thèse Paris 1942, p. 11-12 Voir aussi, H. Hobein" De Maxims Tyrio questions philologae selectae, Dissert, inaug. Gotingensis prodict Jense, 1895, et les "philosophumens" de Maxime de Tyr, IV, 2, éd. Hobein, p. 44, 1-7.

409 Ibid, IV, 5, p. 45, 10-46, 8.

410 Ibid, IV, 6, p. 46, 9-15

411 Cette valeur protreptique du mythe et de l'allégorie atteint son maximum cly Pascal et Alain, lorsque l'obscurité touche à l'absurde. Voir "Pensées" éd. Bruhschvieg, Paris, 1897, fgt 659. Aussi Alain Propos sur la religion " Paris 1951, XII, Des métaphores, p. 35-36.

412 Voir Vellay, op. cit., Conclusion

413 Voir à ce propos "Le cycle du Rameau d'Or" 1911-1915, Trad.

P. Sayn, L. Frazer et H. Peyre, 12 vol., séd. Paris 1925-1935, et en particulier "Adonis" Etude de religions orientales consacrées, trad. L. Frazer, nouv. édit. Paul Geuthner, Paris 1953.

414 Frazer "Adonis" Trad. L. Frazer, P. 174

415 Frazer - "Adonis" Trad, L. Frazer p. 174

416 Voir le même recueil, p, 180-181

417 Ibid p. 180

418 B. Malinowski - "Le mythe dans la psychologie primitive" (Myth in primitive psychologie, 1926), trad. S. Jankélévitch, in "Trois essais sur la vie sociale des primitifs", Paris, 1968.

419 S. Freud "Moïse et le monothéisme" trad. par A. Berman, collect. Les Essais, 28, Paris, 1948.

420 Freud. "Moïse et le Monothéisme" p. 145 sq

421 Voir R. Hostie "Du mythe à la religion" La psychologie analytique de C.G. Jung collect. Etudes carmélitaines, Paris 1955, p 54 sq.

422 Voir G. Dumézil - Mythe et épopée, Paris, 1968.

423 C. Lévi-Strauss, Anthorpologie structurale, Paris, 1958 ; mythologiques, T. I : le cru et le cuit, Paris 1964, T. II : du miel aux cendres, Paris 1967 ; T. III : l'origine des manières de table, Paris, 1968.

424 Gerhard Hern. Les Phéniciens, l'antique royaume de la pourpre. Fayard 1976, p. 336

425 Voir Adonis, La Mythologie des Aromates en Grèce. Gallimard, Paris, 1979 surtout l'introduction critique de J.P. Vernant.

426 Schelling, op. cit., IIe leçon, p. 51-55

427 Voir Jankélévitch "L'Odyssée ...", p. 225-258 - M. Eliade emploie plutôt le mot "théophanie" à la place du mot "incarnation" Il est incontestable que c'est de R. Otto que nous devons toutes ces théories à propos de la "manifestation du sacré".

428 Cela vaut aussi bien pour le mythe d'Adonis que pour Perséphone son amante jalouse ; Lagrange a été catégorique là-dessus surtout à propos de l’animisme prétendu chez les Sémites.

429 Voir Jankélévitch "l'Odyssée", p. 255-258.

430 A. Gide "Considérations sur la mythologie grecque" (Fragments du traité des Dioscures) dans l'Incidences , Paris,1924, p. 127-129

431 Voir Jankélévitch, "L'Odyssée" p. 274, n. 1

432 Schelling, op. cit., Ville leçon, I, p. 238. Voir aussi T1 "Encyclopédie Univeralis", V 11 (1968) " Mythe, l'interprétation philosophique " p. 530-537.

433 Schelling, op. cit., 1ère leçon, p. 24

434 Expressions de Jankélévitch " l'Odyssée ... "p. 273-288

435 Ibid, p. 280 cette notion, nous avons vu a été reprise par Frazer.

436 F.W. Schelling, Les Ages du Monde, suivi de Les divinités de Samothrace, Bib. Philosophique, Aubier, Paris, 1949, p. 212-213.

437 Ce procédé n'est pas étranger à Schelling, il l'utilise sou­vent, notamment dans son ouvrage Les Ages du Monde, suivi de Les divinités de Samothrace, Aubier, 1949.

438 Canaanite Myths and Legends, Edimbourg, 1956, p.96.

439 Ibid. dans Driver, p.72 ('dn) se prononce Adon.

440 Selon GEN.II,8 : "Yahvé Elohim planta "San b'Eden", ce que l'on traduit ordinairement par un "Jardin en Eden".

441 Boisacq., Dict. étymologique de la langue grecque, "paradiesos", p.746.

442 Moulton et Milligan, Vocabulary of the Greek Testament. Londres 1930, p.482. Peut-être faudra-t-il interpréter dans ce sens le témoignage de Lucien à propos de la prostitution sacrée des Phéniciens.

443 Gilgamesh, XI, 195, dans A.N.E.T. p.95.

444 G.R. Driver, op. cit. p.108. sq.

445 F. Martin, Le livre d'Hénoch traduit sur le texte éthiopien, Paris, Letouzey et Ané, 1906.

446 E. Dhorme, Les religions de Babylonie et d'Assyrie, coll. Mana Paris, 1945. p.32.

447 G. Contenau, Le Déluge babylonien, Paris, 1941, p. 170.

448 Enfers.

449 A Kaperlaud, Baal in the Ras Shamra Texts. Copenhague, 1952, M.H. Pope, El in the Ugaritic Texts. Leyde, 1955, p.61.

450 Theological Studies, XV, 1954, p.552.

451 G. Contenau, L'épopée de Gilgamesh, Paris, 2e éd. 1946, p.126.

452 M.H. Pope, op. cit. p.61 (hné es et b abn harq) les Chérubins de feu et du foudre.

453 P. Grelot, La légende d''Hénoch dans les Apocryphes et dans la Bible, origine et signification, dans Revue Sc. Rel. 1958, po196 sq.

454 "Ezéchiel, fort au courant de la théologie phénicienne, sait que les Bené-El, les fils de El, demeurent sur la montagne divine (cf. R.H.R. 1938, II,p.155 et suiv), autrement dit le Liban, qui correspond au Saphon des textes de Sas Shamra" Voir R. Dussaud, Les découvertes de Ras Shamra Ugarit et L'Ancien Testament. 2e. édition, revue et augmentée. Paris, Lib. orient, Paul Genthner, 1941, po.94-95.

455 Les travaux et les Jours, v.112-119 ; trad. P Mazon, coll. Budé.

456 Odyssée, IV, 563-568 ; trad. V. Bérard coll. Budé.

457 E. Drioton, dans Histoire des Religions. M. Brillant, R. Digrain, 1,111, p.111-114,

458 S.N. Kramer, Enki and Ninhursag, a sumerian paradise myth, dans B.A.S.O.R. supp. I, New Haven, 1945 et, plus récemment, dans L'histoire commence à Sumer, trad. Fran. Paris, 1957, p.192-200.

459 Extrait du Dictionnaire historique et comparatif de toutes les religions du monde par l'abbé Bertrand de la Société asiatique de Paris, édition de 1848. Cité dans Etudes sur la religion des Soubbas ou Sabéens, par M.N. Siouffi, Paris, Imp. Nat. p.188 -190.

460 Voir Lahd Khater, Moeurs et Coutumes Libanaises, 2 tomes; 2ème édition arabe, Beyrouth, 1977, T.I, p.161.

461 Tous ces éléments se retrouvent d'une manière ou d'une autre dans le mythe d'Adonis.

462 Ephrem de Nisibe, Hymnes sur le paradis, traduction du syria­que par René Lavenant, S.J. professeur au Centre religieux d'Etudes Arabes de Bikfaya (Liban). Sources chrétiennes, N˚137 Paris, 1968. Editions du Cerf.

463 Hymnes sur le paradis, p.104-106.

464 Ibid; p.116.

465 ibid. p.28.

466 Voir Burnet John, L'aurore de la philosophie grecque. Paris, Payot, 1919, chap. 1er.

467 Voir notre critique de m. Detienne.

468 Voir M. Eliade, Le mythe de l'Eternel Retour, nouvelle édition revue et augmentée, N.R.F. Gallimard, Paris, 1969.

469 Otto Rudolph, Le Sacré - L'élément non-rationnel dans l'idée du divin et sa relation avec le rationnel, Paris, Payot, 1929.

470 Voir l’hymne babylonien à propos d'Adonis cité par Frazer dans notre deuxième chapitre.

471 M. Eliade, op. cit.

472 Emest Casairer, La philosophie des formes symboliques, T.II La pensée mythique, les éditions de Minuit, Paris, 1972, p.222-225,

473 L. de Grandmaison, dans Recherches des Sciences religieuses, XVII,1927, pp.97-126.

474 Th. Zielinski, La Religion de la Grèce antique, 1926, p.118, note, de Grandmaison.

475 Lc. 24, 34.

476 Voir G. Soury, Aperçus de philosophie religieuse chez Maxime de Tyr, Thèse. Paris, 1942, p.71.

477 Nous avons abordé déjà ce thème dans notre Mémoire de Maîtrise présenté à Lyon en 1980 - Gibran ou la philosophie de l'Espoir.

478 Personnage fictif de son livre Jésus fils de l'homme.

479 G.K. Gibran, Oeuvres complètes en langue arabe. "Al Magmua", en 3 volumes. Ed. Sadir, Beyrouth, 1949. Voir p.240 - Jésus fils de l'homme - p.301-307 et 278-279.

480 G.K. Gibran, La Voix de l'Eternel Sagesse, traduit de l'anglais par Marie Béatrice Jehl. Ed. Dangles, France, 1978, p.93-96.

481 Sorokin, Social cultural Dynamics, p.279, vol.II.

482 Le mythe de l'Eternel Retour, p.221-222.

483 Le Jardin du Prophète, trad. de l'aug. Claire Dubois, Casterman 1975, P.35.

484 Voix de l'Eternel Sagesse, p.22.

485 ibid. p.66.

486 Oeuvres complètes, T. III, p.58.

487 Cela signifie "le Liban" pour l'auteur.

488 Oeuvres complètes, p.273, "les chiffres de feu".

489 Voix de la Sagesse, p.92.

490 Le Jardin du Prophète, p.43.

491 ibid. p.43.

492 ibid. p.69.

493 Voix de la Sagesse, p.42.

494 ibid. p.12.

495 Le Prophète, Ed. fr. p.95.

496 Le jardin du Prophète, p.75.

497 C'est la même durée que passa Adonis dans les ténèbres avant qu'Astarté vienne le sauver.

498 Voix de la Sagesse, p.50-51.

499 C.F. Notre mémoire sur Gibran, la partie de "sa mystique".

500 ibid. "Analyse de l'oeuvre arabe". "les Ailes brisées" DC,p.220.

501 Les Phéniciens.

502 Voix de la Sagesse, p.95-96.

503 ibid. p.95.

504 ibid. p.76.

505 Dans Oeuvres complètes, "Jésus fils de l'homme"

506 Voir à ce propos R. Otto, Le sacré.

507 Ballanche, Premières additions aux Prolégomènes, Ed. de 1830, IV, p.6.

508 Pascal, Opuscules et Pensées, Ed. Brunschvicg, Paris, 1897, frag. 659.

509 Alain, Propos sur la Religion, Paris, 1951, XII, Des méta­phores, p.35-36.

510 Pensées, frag. 670, Brunschvicg.

511 "Réalité" : "sociologique" pour Malinowski ; "psychique" pour Jung ; et "sacrée" pour Eliade.

512 Malinowski, Myth in primitive psychology. Londres, 1926, p.21 sq.

513 Schelling, Philosophie de la Mythologie, Aubier, Paris, 1945, P.133.

514 Nous préférons ce mot à celui de "résurrection" car il évoque l'idée d'"inbiâth" de "Baath" qui se retrouve dans presque tou­tes les oeuvres des idéologues "Baasistes" libanais et syriens et qui écarte toute connotation chrétienne.

515 Voir supra, la polyvalence du mythe : réalité objective et réalité subjective.

516 On pourra dire de même des "religions orientales" en parti­culier Sémitiques.

517 Tiré du Culte et Fêtes d'Adonis de Ch. Vellay; p.257-262.

518 Fleurs de Noël : le Blé de Sainte-Barbe, Marseille, 1903.

519 Voir, le culte de Adonis, p.138, Ch. Vellay.

520 Voir M.N.Siouffi, La Religion des Soubbas, p.148.

521 Les paysans libanais procèdent toujours à ce genre de divina­tion appelé "Tabahir". On plante 6 pots durant 6 jours qui doivent prédire les 12 mois de l'année.

522 M.N.Siouffi. ibid.

523 Tarif de Marseille trouvé en 1845, voir "Lagrange, Religions sémitiques, p.469-470.

524 Tiré du Le livre et le Liban, présenté par Jack Lang et publié sous la direction de C. Aboussouan, Paris, UNESCO, 1982, p.43.